Pierre Vergès s'est beaucoup impliqué dans la constitution, la construction et la réalisation de la nouvelle majorité du Conseil général. Il travaillé à la mise en place du Mouvement des démocrates sociaux de La Réunion. Malgré les ressentiments de la désunion lors des Régionales de 2010, il a œuvré "de manière tout à fait honnête avec le PS"
Toujours avec le PCR, le conseiller général du Port 1 a participé à la mise en place d'un dispositif garantissant l'équilibre des forces à l'intérieur de la majorité départementale pour les trois années à venir, et ce quel que soit l'évolution numérique des conseillers généraux, à l'intérieur de chaque groupe…
Après une telle implication, comment expliquer que " je me retrouve à la treizième vice-présidence. C'est aussi une question de crédibilité", explique Pierre Vergès.
La semaine dernière lors de l'attribution des postes de vice-président, Pierre Vergès a accepté de laisser la première vice-présidence à Roland Robert (La Possession) pour une bonne représentation de l'Ouest et du Sud, le PCR n'ayant plus de conseiller général dans le Sud.
Pour certains membres du parti communiste réunionnais, la quatrième vice-présidence revenait naturellement à l'Est/Nord, et ce au nom de l'équilibre des micro-régions. Avec trois conseillers généraux, cette quatrième place devait donc échoir à Eric Fruteau ou à son représentant Robert Nativel.
Pierre Vergès a alors avancé d'autres arguments. Les différentes missions qu'il accomplit au sein du parti. La réponse a été immédiate. "Tout le monde travaille pour le parti, comme nous l'avons fait pour la mise en place de cette nouvelle majorité départementale".
Jeudi au palais de La Source, Claude Hoarau a même été lapidaire : “Il n'y a pas d'héritier au PCR". Pierre Vergès réplique : "C'est vrai, il n'y a pas d'héritier, mais il n'y a pas non plus de banni". Cette "dispute" pour la quatrième vice-présidence amène Pierre Vergès à s'interroger.
“Il y a aujourd'hui un problème de fond : comment neutraliser Pierre Vergès et régler son compte, et à travers moi ébranler Paul Vergès ? La question est : dans l'intérêt de qui ? Maintenant si c'est juste un problème de personne, je suis prêt à remettre mon mandat en jeu".
Toujours avec le PCR, le conseiller général du Port 1 a participé à la mise en place d'un dispositif garantissant l'équilibre des forces à l'intérieur de la majorité départementale pour les trois années à venir, et ce quel que soit l'évolution numérique des conseillers généraux, à l'intérieur de chaque groupe…
Après une telle implication, comment expliquer que " je me retrouve à la treizième vice-présidence. C'est aussi une question de crédibilité", explique Pierre Vergès.
La semaine dernière lors de l'attribution des postes de vice-président, Pierre Vergès a accepté de laisser la première vice-présidence à Roland Robert (La Possession) pour une bonne représentation de l'Ouest et du Sud, le PCR n'ayant plus de conseiller général dans le Sud.
Pour certains membres du parti communiste réunionnais, la quatrième vice-présidence revenait naturellement à l'Est/Nord, et ce au nom de l'équilibre des micro-régions. Avec trois conseillers généraux, cette quatrième place devait donc échoir à Eric Fruteau ou à son représentant Robert Nativel.
Pierre Vergès a alors avancé d'autres arguments. Les différentes missions qu'il accomplit au sein du parti. La réponse a été immédiate. "Tout le monde travaille pour le parti, comme nous l'avons fait pour la mise en place de cette nouvelle majorité départementale".
Jeudi au palais de La Source, Claude Hoarau a même été lapidaire : “Il n'y a pas d'héritier au PCR". Pierre Vergès réplique : "C'est vrai, il n'y a pas d'héritier, mais il n'y a pas non plus de banni". Cette "dispute" pour la quatrième vice-présidence amène Pierre Vergès à s'interroger.
“Il y a aujourd'hui un problème de fond : comment neutraliser Pierre Vergès et régler son compte, et à travers moi ébranler Paul Vergès ? La question est : dans l'intérêt de qui ? Maintenant si c'est juste un problème de personne, je suis prêt à remettre mon mandat en jeu".